L’orée d’une bouche enserre les flots de parole. Ils, les mots, restent. Les yeux sont fous d’impuissance, les mains liées au sommet de leur courbe, les bras, pendants, errent. L’entrée est cachée, ne se fait pas. Les mots vivent à l’orée de la tombe. Une porte, s’est refermée.