Impossible de respirer tandis que la main s’abat sur mon visage. Mon ventre comprimé. Impossible d’espérer tandis que le pied se lève, mécaniquement, me pistonne la gueule. Impossible de crier tandis que la terre s’imprime dans mes narines, s’enfuit dans ma bouche, me déchire l’œsophage. Impossible de vivre, alors.