L’air repu qui répond à l’oral
A le sombre plaisir d’une tristesse édifiée
Tu craches et rejettes sa vérité
Bancale
Hérite-moi lors du trépas
descends les degrés successifs
Jalons du parcours lascif
de l’orifice qui étreint
Silo cloisonné et têtu
Ton corps repu qui festoie