La force factice ronronne, confortable vibration gavée de faux-semblants, d’affinités sélectives, atomes crochus, ions perdus. La physique des sentiments pointe un chemin crédule, masque la vérité, attise l’absence de doute.
Agité plutôt par la chimie du sang et du vivant, il faut se bousculer. D’une corde se hisser haut, fièrement haut, en accrochage contraire aux lois empoussiérées qui brident l’esprit. S’inventer une issue, filtrer les bienséances, esquiver fissa les poseurs de pierres. Planter un coin de bois dans le champ cathodique, écarteler les électrodes du bain mou quotidien. Saturer de rêves inassouvis les lourdeurs infestées d’omissions.
Et plonger.