Cador le matador adore me mettre à l’heure
Il m’attire me retourne et dégaine son espoir
Enhardi de l’obscur qui dilate ses deux noirs
Il me plante en doublette ses dix griffes au valseur
Matador, à minuit, d’envie il s’exaspère
Explorant davantage d’avantages peu subtils
Tempête et se pavane, se déleste et libère
D’une lourde cape de chair mon trouble fébrile
Une nuit millénaire Matador a paru
Une nuit millénaire Matador est venu
Affirmant haut et fort son manque de croyance
Son envie d’emboutir, son culte de l’envie
Brocardant les mauviettes aux insignes violences
Il déchaîne sa furie et m’enivre d’oubli