(Sur une chorégraphie d’Hofesh Schechter)
L’anthropique entropie naît de la gesticulation. Des allers, des retours et des agitations. L’anthropique entropie secoue gémit et tord
Quand soudain…
Les mains agités, les pieds excités, les mains qui secouent et se touchent
Quand soudain… qui se tuent
Les corps endiablés qui s’affolent ne trouvent pas d’issue
Quand soudain une mort, une fatalité
Le diable est dans la danse, dans les corps exultants qui s’agitent en décontraction apparente. En petit pas religieux, petits cercles des bras qui s’agitent vers dieu, déhanchés fastidieux qui soudain s’accélèrent et repaissent d’envie les présents, les voyeurs, les acteurs, les croyants.
Le diable est en fusion de la force maligne et humaine, en exaltation de la violence chaude qui s’empare de l’être et le troue.
Quand soudain…
L’anthropique entropie fait la rage et la vitalité.