On subit correction quand on regarde les yeux
On prend correction quand on s’affronte à deux
Et le temps et le temps te corrige sans cesse
Te dément te défend arrête toute ivresse
Correction de malaise gros et lourd qui empèse se répand tout enflé te masque la lueur
Gros malaise habité de tes lourdes terreurs qui corrige sans un mot t’offre le souci la violence dégoûtée
Eh, regarde !
Et la traîne du ciel qui observe narquois les tentatives hautaines les ratés les envois
Et se rit et se gausse et se moque de toi
Correction impossible à ton échelle humaine
Correction inattendue d’égarements impromptus