Écrire comme on peint. Des couches et des couches de mots qui se mêlent, s’imbriquent et se superposent. Qu’à la fin on ne voie que le tout dernier, un simple mot, mais riche. Coloré. Imprégné de tous ceux qu’il aura effacés. En lui, l’aura des mots morts persiste longtemps.